vendredi 29 février 2008

Lettre d'un deputé amoureux


Chère Solanges, Chère chéris

J'ai apprit la nouvelle comme tout le monde : ce salaud que tu disait qui était un homme de bien t'a trompez de la fasson la plus vilaine, la plus ignoble. Il a trompez ta confiance et tu t'es laissez avoit comme une grande imbécile. J'ai appris aussi qu'il a épousez une autre fille qui a beaucoup plus d'arjean que toir. Une de tes amies ma dit que tu es telman dessus que tu panses a te tuez ta tête. Moi je te dis que non, toi foie non. Tu dois payez tes zéreurs. Tu dois rester envie pour payer ta langue de vipaire. Parse que tu mavet toujour méprizez. Tu disais toujours que j'était un député provinsse et que j'avait la bouche trop sûr, et que j'ai ne jamais étez poursuivi par les études. Mais aujour d'ui grasse ô jénis tutélères, grasse ô lois d'Afrik je suis député la chamb. Tu avait toujours dis a tes amis que tu aurais honte d'aimer avec moi parse que j'était trop lait. Et alors quelle est la différance. Les jeans lait sa nexiste pas. D'ailleurs on n'a pas besoin d'être belle gasson pour être présidan de la républik ni parlez menteurs. Souviens-toi du petit pair Aristid et de Beau n'y fasse. Celui-la même, toutes les femmes qui travaillait dans l'étas et qui était en sinte prenaient toujours les précossions pour ne pas regarder sa foto a coze de leur bébé qui allai nêtre. Je ne suis pas contan que tu soir dessus. Je ne suis pas méchant comme toir. Mais je suis très fier de toir que tu soir dessus. Parse que je voulait telman aimer avec toir. Et sait la ma vanjansse. Souviens toir que nous zavons prit nessence dans le m'aime cartier. Tu était si bêlle quant tu avait quize ans qua chak foir que je te voyait que j'avait mal ô vantre, le tata me tenait trait fort, telman j'était zamoureux de toir,têlman j'était zému. Alors je courait trait vite a la toilette pour faire tata, mais l'en vie de tatayer s'en allait trait vite ôsito que j'était assis sur la toilette. Alors jétait zoblijéz de prandre une foto de toir et de la regarder pour faire tata. Et jetatait, je pleurait, je pleurait, je tatait, et je savet pas qui êsse qui allait finir avant l'autre, le tatait ou le pleurait. Mais je peux te dire que j'ai a prit une bêle le son, s'est que l'amour est la meilleure remède contre la constipassion, celaveut dire que si on n'ait passionez on peut bien aller ala celle. ()
Revenant a toir maintenan. Je sais que tu souffres oriblement pour ce salaud quitta quittez, malgré que ton papa ait riche. Tu doir tirez sette le son :sait que l'arjean ne fait pas le bon air. C'est la nature qui te punit aujourdui parse que tu ma toujours bloffez toir ossi. Tu m'avet toujours demandez de prandre passiansse pour aimez avec toir, mais a forse d'atandre j'était devenu comme Daniel dans la forse olions. Tu voix bien que je connet mon hisoiresinte. Hélas , comme ondi, la passiansse est l'amère detoute les vers tuent, elle ait ossi un vermifuje puisquelle tuent les vers. (Une autre decouverte!)

De toute fasson, je serez toujoure la pour toir m'aime quant tu ceux rat vieille. Je serez toujoure la pour aimer avec toir m'aime quant tu n'ô rat plus dedans et que tu ô rat diol fôbôp, car tu ait mon seul amour .
Jetta tandrez toujours. Et si nous ne pourons pas avoix un bébé, nous adopterons un nanfan et nous la pelle ront Lunik. Lunik amour. (pourquoi pas? )
Jetta D'or
Signez Ton coeur qui souffre an silansse. Remi !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

ce marrasme politique y etait tjrs au sein des negriers,c'est la politique de la force egocentrique d'1 peuple assassine et zozoter par une classe de malfaiteurs qui sont contamines par un certains virus d'aveuglements de rongeurs nocturnes qui ne cessent ps de sulfiriser cette pauvre societe nefaste qui ne cesse de crier sans les larmes et qui ne cessent ps de se plaindre k sous les cris du silence.Ce coin epineux de la caraibe ne fait que cautionner la malheure souriante de l'existence du negre au yeux hautains de nos anciens colonisateurs.

Anonyme a dit…

C'est ainsi que l'etat devint prisonnier d'une classe de profiteurs,dont ils ne parviendrait pas facilement a se defaire.A cause d'un lendemain incertains et l'incapacite de la majeure partie de nos politiciens,les cadres vivaient dans un etrange nivellement.